Jean-Garon fédérateur du monde agricole

C’est un 5 à 7 très particulier qui, le 12 novembre dernier, a attiré malgré la tempête de neige qui s’abattait sur la province de Québec, plusieurs personnalités du monde agricole, agroalimentaire et du monde des affaires à la « Maison blanche» de l’Institut Jean-Garon face au Musée des Beaux-arts du Québec (MNBAQ).

Dans l’après-midi s’était tenue au MNBAQ une réflexion sur l’avenir du zonage agricole et de l’occupation du territoire. L’activité était animée par le journaliste/agronome, Nicolas Mesly et six panélistes de grande qualité ont échangé et répondu aux questions de la salle.

Le panel a conquis l’auditoire par l’excellence de ses représentants : Jacques Demers (président FQM), Jacynthe Gagnon (présidente UPA Capitale nationale), Réjean Saint-Pierre (ex-commissaire CPTAQ), Patrick Mundler (professeur Université Laval), Bernard Vachon, (Géographe. Ph.D. ,Professeur honoraire  à L'UQAM) et Fernande Ouellet, (agricultrice alternative), propriétaire de la ferme, Rusé comme un canard.

Un 5 à 7 rassembleur

En soirée c’est donc dans les bureaux et studios de L’Institut Jean-Garon/GaronTV que se sont regroupés nombre d’acteurs et décideurs du monde agricole.

Le ministre de l’Agriculture, André Lamontagne est venu rencontrer les invités de l’Institut Jean-Garon. Il a échangé avec eux et a souligné l’importance des journées de réflexion telle qu’ organisées par l’Institut Jean-Garon.

Sur les photos publiées ci-joint, on peut reconnaitre entre autres: Suzy Loubier, vice-présidente aux affaires publiques et communication de Soleno; Luc Boivin, directeur général de la fromagerie Boivin; Judi Garon, la femme de Jean Garon; son frère, Emmanuel Garon; Michel Saint-Pierre, ancien sous-ministre en chef du MAPAQ; Guy Debailleul, ancien vice-doyen à la Faculté d’agriculture de l’Université Laval; Massimo Iezzoni, directeur général de la Communauté urbaine de Montréal; Jacynthe Gagnon, présidente de l’UPA de la Capitale-nationale déléguée à l’activité de l’Institut par le président de son syndicat; Jacques Cartier, président du Conseil des entrepreneurs agricoles; Maxime Laplante, président de l’Union paysanne; Jean Nobert, avocat et chroniqueur aux Mordus de politique etc.

La «Maison blanche» de l’Institut Jean-Garon a  été le lieu d’un échange fort pertinent entre divers membres aux orientations diverses pour l’agriculture du Québec. Seul un personnage comme Jean Garon a l’aura assez puissant même 5 ans après sa mort pour réunir tant de divergences d’opinions en ces lieux comme pour rappeler à tout un chacun que sa mémoire doit rester le moteur d’une agriculture puissante, riche et diversifiée.

 

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