Loin de disparaitre des radars comme nous aurions pu le penser, L’Union paysanne revient en force grâce à sa résilience au fil des ans.
Trop souvent oubliés comme le Conseil des entrepreneurs agricoles (CEA) par les gouvernements, la centaine de membres réunie le 15 février dernier à la ferme Guyon à Chambly étaient bien décidés à passer à l’action.
S’ils pouvaient se réjouir de l’annonce du ministre Lamontagne de deux projets pilotes qui entrouvrent une porte pour la survie de l’Agriculture de proximité au Québec, ils ont bien l’intention au cours des prochaines années, d’informer le public sur les enjeux de leur vision paysanne, de démontrer qu’ils sont une solution à la souveraineté alimentaire, à la transition énergétique, à l’occupation du territoire et à l’accès au marché.
Les actions du ministre sont positives mais les attentes des membres de l’Union paysanne sont beaucoup plus grandes.
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