Déjà présente au Mexique, au Chili, en Côte d’Ivoire et en Ontario, Agro-100 Ltée de Joliette se lance maintenant à la conquête de nouveaux marchés aux États-Unis, dans l’Est et l’Ouest du Canada avec sa filiale Agro-100 global, à laquelle vient de se joindre un professionnel reconnu en développement des affaires et en stratégies commerciales, monsieur Lorne Bienstock qui agira à titre de vice-président exécutif, ventes internationales.
« Les perspectives de croissance du secteur agricole américain d’ici 2025 justifient amplement à elles seules la décision de tenter de percer ces marchés » a dit le président et chef de la direction, Stéphane Beaucage. Celui-ci a indiqué que la FAO, l’Organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, et l’OCDE s’attendent à ce que, parmi les principales cultures, le maïs connaisse l’augmentation la plus importante en millions de tonnes, alors que le soya afficherait pour sa part, au cours des dix prochaines années, le taux de croissance le plus élevé, soit plus de 30 %. La culture du soya présente également, quant au volume du commerce international, les perspectives de croissance les plus fortes d’ici 2025 du côté américain. Monsieur Beaucage a précisé, par ailleurs que ce secteur-clé de l’économie des États-Unis, qui demeurent le 2e importateur mondial, offrait de ce fait de belles perspectives de croissance pour l’offre de produits d’Agro-100 qui, avec 2, 2 millions d'exploitations agricoles, 371 millions d'hectares de surface agricole utile continue de trôner au sommet des économies du monde avec l'équivalent de près de 23 % du produit intérieur brut (PIB) mondial.
« Il ne faut surtout pas oublier que nous avons à faire, ici, avec le premier marché de consommation du monde » a pour sa part indiqué Lorne Bienstock, soutenant avoir déjà identifié de belles occasions d’affaires. Pour monsieur Bienstock, les dépenses nationales reliées à la production agricoles s’établissant à environ 375 milliards de dollars (375G $) aux États-Unis, selon le National Agricultural Statistics Service du (USDA), démontrent bien toute l’ampleur du potentiel alors que les dépenses moyennes annuelles par ferme sont de plus de 175 270 $.