Maxime Bernier insiste et prétend qu’il n’est pas question pour le gouvernement fédéral de laisser tomber la gestion de l’offre. Il déclare : “La conclusion fructueuse de l’accord du Partenariat TransPacifique favoriserait la protection et la création d’emplois canadiens, en plus de faire croître notre économie en permettant aux entreprises canadiennes d’avoir accès à certains des marchés les plus dynamiques du monde mais le gouvernement demeure déterminé à continuer de défendre le système de gestion de l’offre. Le bilan du gouvernement montre qu’il a su conclure des accords commerciaux protégeant le système qui sert efficacement les producteurs laitiers et les producteurs de volaille et d’œufs“.
Il rappelle que le partenariat TransPacifique (PTP), par ailleurs, offre, aux agriculteurs, éleveurs et transformateurs d’aliments de partout au Canada l’occasion de se voir offrir un accès préférentiel à la région du PTP, un marché combiné de 11 pays et de près de 800 millions de gens avides de produits canadiens. Du boeuf au canola et des légumineuses au porc, en passant par les matériels génétiques, les animaux vivants et une multitude de produits transformés, notre secteur de l’agriculture et de l’agroalimentaire dépend, dans chaque province, des exportations pour croître et prospérer, précise-t-il.
Et il conclut : “Nous demeurons déterminés à protéger et à promouvoir les intérêts des fermiers canadiens à la table de négociations du PTP“