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“Utiliser un faux nom pour salir des réputations, une honte !“ dit Cartier

“ Je ne crains absolument pas pour mon intégrité“ de dire Jacques Cartier, rejoint par téléphone lorsque nous lui avons mentionné les critiques portées à son égard dans la chronique du virtuel Sam Turlupine du dernier mensuel L’U, nouvelle publication du syndicat L’UPA. “Je suis arrivé comme président d’Agropur, il y avait des dettes et j’ai quitté une coopérative en bonne santé financière. J’ai œuvré pour développer une coopérative selon ses volumes et ses membres.“ de dire M. Cartier.

Lâcheté d’un journaliste ou d’un administrateur !

“ Il est inacceptable de signer un tel papier sans être en mesure d’y mettre son nom“ de dire l’ancien président d’Agropur, maintenant président du Conseil des entrepreneurs agricoles (CEA). “ Ce type de personne ne mériterait même pas qu’on lui réponde. C’est une honte de ne pas signer son nom et en plus il ne semble pas connaître l’histoire des coopératives laitières au Québec et au Canada.  Sait-il seulement qu’il y a eu six coopératives laitières au Québec  et qu’au Canada Agri-Food a dû se vendre à Saputo pour ses dettes?“

Pour Jacques Cartier, cette méthode est digne d’une grande lâcheté opérée par un journaliste ou un administrateur lié au syndicat de l’UPA!

Agropur est faite pour rester coop !

“Une coopérative a des principes coopératifs à respecter et je ne crois pas que le fait que 44 % du chiffre d’affaires d’Agropur soit réalisé à l’extérieur du pays puisse permettre de prétendre que la coopérative puisse perdre son statut. Il faut savoir qu’il y a trois gros transformateurs au Canada et qu’une expansion au sein des frontières n’est plus possible. Ce monsieur devrait aussi savoir qu’Agropur est sous charte fédérale et que ce qui est important c’est sa base locale de producteurs. Il est clair que le seul objectif de ce papier est vicieux ! Il s’en prend à moi et au ministre Paradis mais ne remet en aucun en cause ma légitimité!“ de nous signaler Jacques Cartier.

Sur le dossier du PTP, totale ignorance du rédacteur fantôme de L’U !

Le papier signé d’un nom fictif, Sam Turlupine, dans le dernier numéro de L’U est un tissu de mensonges à en croire M. Cartier et n’est qu’une attaque malsaine pour essayer de le décrédibiliser lui et le ministre Pierre Paradis. “Ce monsieur ne sait rien de ce qui s’est discuté à Hawaï et à Atlanta !“ de conclure Jacques Cartier.

Il y a donc lieu de croire que ce papier n’est encore qu’une manœuvre syndicale de l’UPA pour essayer de garder le contrôle d’une machine qui sert plus l’administration syndicale que les producteurs eux-mêmes à écouter le président du CEA.

 

Extrait de la chronique du virtuel Sam Turlupine/ février 2016 : “ Au début des années 2000, M.Cartier avait aussi le projet de démutualiser la coopérative (Agropur), c’est-à-dire convertir les parts des sociétaires en actions pour permettre aux producteurs de transiger leurs actions et ainsi transformer la coop en compagnie…“

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