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L’affaire Séralini de nouveau sur la sellette!

En 2012, une étude du chercheur Gilles-Éric Séralini, dont La Vie agricole vous a déjà parlé dans le cadre d’une entrevue avec le professeur, menée sur des rats faisait état d’excès de tumeurs chez des rats nourris avec du maïs génétiquement modifié. Six ans plus tard, une étude «plus rigoureuse» invalide ces résultats inquiétants déclare le quotidien français Le Figaro.

«Quatre ans après son lancement, un projet de recherche européen visant à évaluer les risques pour la santé d'un type de maïs génétiquement modifié – le projet «G-TwYST» – vient de livrer ses conclusions. Les données brutes ne seront publiées qu'à la fin de l'année, mais un rapport divulgué fin avril permet d'en apprécier les grandes lignes: Aucun risque potentiel pour les humains et les animaux n'a été identifié.», peut-on lire dans le quotidien.

Nul que la bataille scientifique entre le professeur Seralini et ses détracteurs entre dans une nouvelle ère.

Retour sur l’affairre Séralini

L’affaire Séralini est déclenchée suite à la publication d'un article scientifique,  « Toxicité à long terme d'un herbicide Roundup et d'un  maïs génétiquement modifié tolérant au Roundup. écrit par Gilles-Éric Séralini, présentant les résultats d'une étude relative à la toxicité  à long terme (deux ans) du Roundup (un herbicide  à base de glyphosate ) et du NK 602  (un maïs génétiquement modifié tolérant au Roundup) sur des rats de laboratoire. Publiée initialement le 19 septembre 2012 dans la revue scientifique à comité de lecture Food and Chemical Toxicology, cette étude a été menée par Gilles-Éric Séralini et une équipe de chercheurs de l'université de Caen. Elle a coûté plus de 3 millions d'euros.

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