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« Les solutions d’hier sont parfois les problèmes d’aujourd’hui»- Claude Lafleur

Mandaté par le ministère de l’Agriculture, l’Institut Jean-Garon travaille actuellement une réflexion sur le zonage agricole, 40 ans après la loi, et rencontre diverses personnalités du monde agricole. Ce mois-ci, Claude Lafleur.

Pour ce faire en plus du conseil d’administration habituel : Judi Garon ( la femme de Jean Garon); Emmanuel Garon ( son frère), Michel Saint-Pierre ( ex sous-ministre au MAPAQ); Guy Debailleul ( professeur associé à L’Université Laval),  Yan Turmine ( président de Bélisle nutrition animale); Guy Duval ( président de La Vie agricole) et Yannick Patelli ( Éditeur de La Vie agricole), L’Institut s’est entouré d’un comité scientifique dans lequel on retrouve l’ancien sous-ministre Jacques Landry; l’ancien commissaire de la CPTAQ Réjean Saint-Pierre et Monique Gagnon de Voix citoyenne très impliquée dans le sauvetage des terres des Sœurs de la Charité.

L’Institut présentera ses premières conclusions lors d’un évènement qui se tiendra le 12 novembre prochain au Musée des Beaux-Arts de Québec (MNBAQ). Pour ce faire d’ici là l’Institut Jean-Garon a mis en place LA COMMISSION SAINT-PIERRE/DEBAILLEUL du nom des deux coprésidents. Celle-ci ira à la rencontre de diverses personnalités du monde agricole qui ont une vision d’avenir à proposer pour la protection des terres agricoles, mais aussi pour l’avenir du secteur.

La première sortie de LA COMMISSION SAINT-PIERRE/DEBAILLEUL s’est effectuée fin août dans Charlevoix sur la terre de Claude Lafleur ( ancien secrétaire général de l’UPA et ancien président de La Coop fédérée). Dans le cadre d’une entrevue vidéo réalisée par GaronTV et diffusée sur le site de l’Institut www.institutjeangaron.com Claude Lafleur fait état de son implication avec sa femme Ghislaine Gagnon pour la revitalisation de la terre qu’il occupe, mais aussi de la région de Charlevoix par le rôle qu’il joue avec d’autres partenaires dans la remise en fonction du moulin de Baie-Saint-Paul, le moulin de la Rémy. Il apporte sa vision sur la CPTAQ et rappelle que s’il faut garder certaines balises « La solution passe par la pluralité des modèles en agriculture comme l’identifiait le Rapport Pronovost» et que « Les problèmes d’hier sont parfois les solutions d’aujourd’hui».

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