Je tenais à vous dire qu'il est évidemment très porteur pour le secteur québécois des plantes fourragères de marteler le message que le marché des fourrages a besoin d'être mieux organisé et soutenu. C'est un secteur commercial en devenir dont le potentiel d'exportation est appelé à évoluer.
Le secteur québécois des plantes fourragères a déjà été approché par d'autres pays importateurs, pas juste la Chine.
Il nous manque cruellement d'infrastructure de séchage au Québec pour régulariser l'approvisionnement mais nous avons deux bons avantages : notre énorme potentiel de production de plantes fourragères, particulièrement dans les régions déjà bonnes productrices et nos installations portuaires.
Hélène Brassard, directrice général CQPF