Le Canada assure la croissance et fait la promotion du commerce extérieur dans l’intérêt de ses agriculteurs et transformateurs d’aliments et aide ainsi à bâtir un secteur agricole fort et dynamique et à créer de bons emplois pour la classe moyenne de dire le ministre de l’Agriculture canadien Lawrence MacAulay, qui a poursuivi sa mission agrocommerciale en Europe en participant à des réunions du G7 sur l’agriculture à Bergamo (Italie) ces derniers jours. Il a ainsi participé à une série de rencontres bilatérales avec des représentants de l’Union européenne en Belgique au début de la semaine.
À Bergamo, le ministre MacAulay et ses homologues du G7 ont approuvé un communiqué après deux jours de séances plénières de discussion sur diverses questions comme les pratiques de gestion des risques en agriculture, la sécurité alimentaire et la migration. Ils ont ainsi établi une assise solide pour les séances et les célébrations de la Journée mondiale de l’alimentation à Rome.
Le ministre MacAulay a tenu des réunions bilatérales avec ses homologues agricoles de l'Union européenne, d'Italie et d'Allemagne. Ces réunions ont porté sur les enjeux d'intérêt pour le secteur canadien de l'agriculture et de l'agroalimentaire, ainsi que sur l'importance du commerce.
Le ministre MacAulay a également rencontré des associations de l'industrie européenne, dont l'Union Européenne du Commerce du Bétail et des Métiers de la Viande, COCERAL et Fediol, avant de faire la visite du port d'Anvers, un important centre pour l'importation de produits agricoles du Canada. Les discussions de la mission commerciale visent à faire en sorte que les agriculteurs canadiens soient bien représentés à l’étranger et à créer d’autres débouchés pour la classe moyenne dans le secteur agricole et agroalimentaire.
« La réunion des ministres de l’Agriculture du G7 est une occasion de discuter de certains des défis les plus importants d’aujourd’hui et d’établir un consensus sur ceux-ci. Cette année, les ministres ont convenu que la meilleure façon de lutter contre la faim dans le monde consiste à renforcer l’exploitation agricole familiale en aidant les agriculteurs à mieux gérer les risques, à confier un plus grand rôle aux agriculteurs dans la chaîne alimentaire, notamment aux jeunes exploitants et aux femmes, et à favoriser un commerce ouvert et inclusif. » a déclaré le ministre Lawrence MacAulay