Le Canada se présente comme une nation commerçante et considère que la qualité de vie des Canadiens repose sur un commerce soutenu avec les autres pays, moteur principal d’une croissance économique au service d’une classe moyenne prospère.
Le ministre du Commerce international, François-Philippe Champagne, est l’hôte de la première ronde des négociations sur un accord de libre-échange entre le Canada et l’Alliance du Pacifique, qui se tient à Cali, en Colombie, du 23 au 27 octobre. Un accord de libre-échange avec l’Alliance du Pacifique représente une possibilité de moderniser et de simplifier les accords bilatéraux que le Canada a conclu avec les quatre pays membres de l’Alliance, d’élargir les éléments clés de ces accords et d’y intégrer de nouveaux éléments favorisant le commerce progressiste, y compris en ce qui concerne l’égalité des genres, la main-d’œuvre, l’environnement et les petites et moyennes entreprises a fait savoir le gouvernement du Canada par voie de communiqué.
Ces négociations sur un accord de libre-échange visent notamment à confirmer la place du Canada en tant qu’État associé de l’Alliance du Pacifique. Il s’agit d’une occasion stratégique pour le Canada de promouvoir son programme commercial progressiste et diversifié auprès des marchés émergents et d’envoyer au monde entier un message clair sur l’importance du libre-échange pour accroître la croissance et la prospérité.
« Lors de mes récents voyages au Chili, en Colombie et au Mexique, j’ai été très emballé par le potentiel inexploité que représentent les échanges commerciaux entre le Canada et les pays de l’Alliance du Pacifique, pays qui comptent sur une classe moyenne en pleine croissance et sur une économie ouverte et axée sur le marché. Nous avons l’objectif commun d’accroître l’intégration économique régionale et d’entretenir des échanges plus libres et plus progressistes qui peuvent contribuer à la création d’un plus grand nombre d’emplois et d’occasions pour la classe moyenne. Cette nouvelle étape représente une occasion stratégique pour le Canada de promouvoir son programme commercial progressiste et diversifié auprès de grands marchés émergents ouverts à cette idée. » a déclaré François-Philippe Champagne, ministre du Commerce international