La critique agricole de Québec solidaire, Émilise Lessard-Therrien estime que l’Agriculture au gouvernement tombe toujours dans une craque et n’est jamais une priorité.
Si elle est un jour ministre de l’Agriculture, elle souhaite aborder la souveraineté alimentaire pour retrouver de l’autosuffisance.
Sur Lamontagne, elle a apprécié son discours au congrès de l’Union paysanne et se réjouit que le rapport Pronovost soit son «étoile du nord» mais aurait aimé qu’il se commette. Emilise Lessard Therrien lui rappelle qu’il a tous les outils pour changer les choses au sein de son ministère.
Sans hésitation elle rappelle que Québec Solidaire reste en faveur du pluralisme agricole.
Sur la crise du CEROM, elle aimerait que l’Union paysanne et les voix citoyennes aient voie au chapitre en ce qui a trait à la recherche.
Emilise Lessard-Therrien aborde au cours de l’entrevue le cas des terres agricoles en parlant des terres des Soeurs de la charité de Québec mais aussi d’une réalité en Abitibi-Temiscamingue pour laquelle elle estime que les Chinois sont des prédateurs.
«Nous les Chinois, ils sont venus (…. ) On les appelle entre nous des prédateurs, c’est des prédateurs de terres agricoles. On les voit, on le sent».