Simon-Pierre Savard-Tremblay qui fut ces dernières années chroniqueur à La Vie agricole a lancé aujourd’hui sa campagne à l’investiture pour le Bloc Québécois dans la circonscription de St-Hyacinthe-Bagot en vue des prochaines élections fédérales. Très vindicatif envers le Canada, il entend défendre à Ottawa les valeurs du Québec.
Simon-Pierre Savard-Tremblay est l’ancien président de l’aile jeunesse du Bloc Québécois. «C’est un retour au bercail pour moi, après quelques années consacrées à mes études supérieures en économie et à la rédaction de livres et de chroniques et billets dans différents médias nationaux. Je suis extrêmement fier d’offrir mes services au Bloc québécois, un parti renouvelé et prêt à mener une bataille énergique pour le Québec. Je suis tout particulièrement enthousiaste à l’idée de me présenter dans une circonscription comme St-Hyacinthe-Bagot, qui a souffert des politiques néfastes du gouvernement Trudeau, notamment en matière d’agriculture. Il est temps de faire entendre de nouveau la voix des hommes et des femmes de cette belle circonscription à Ottawa. J’entends être leur défenseur acharné.», a déclaré l’ancien chroniqueur par voie de communiqué.
Plus tôt ce matin il écrivait ce message très vindicatif envers le Canada sur sa page Facebook : «Ça y est. Ma décision est prise. Je serai candidat à l’investiture du Bloc Québécois dans la circonscription de Saint-Hyacinthe-Bagot.
Pourquoi le Bloc ? Parce qu'il s'agit de la seule maison des indépendantistes à Ottawa. Nous ne sommes pas chez nous dans le Canada. Nous en avons assez de le voir saper nos choix au nom d’un régime qui nous a été imposé, et de vivre avec des décisions qui ne sont pas les nôtres. Nous avons besoin d’une voix forte et unique, travaillant activement à notre indépendance nationale»,
Simon-Pierre Savard-Tremblay rappelle dans son post Facebook que Saint-Hyacinthe-Bagot a aussi été un lieu historique, à l’époque duplessiste, de la lutte contre les abus du cléricalisme. «(…)En 2019, nous faisons à nouveau face à des institutions exerçant un pouvoir démesuré sur notre démocratie. On les appelle les multinationales. L’élection canadienne qui approche, comme toutes les autres avant elles, n’est qu’un nouvel obstacle à franchir sur la route de la liberté» a-t-il déclaré.