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Les Nations Unies critiquent l’immigration au Canada mais de belles intégrations réussies aussi

Un rapport d’un rapporter spécial des Nations Unies prétend que le programme canadien pour les travailleurs étrangers temporaires est un « terreau fertile » pour l’esclavage contemporain. C’est ce qu’on appelle ne pas y aller avec le dos de la cuillère! Mais la réalité est peut-être un peu plus mitigée au regard de ce qu’on entend sur le terrain!

Le fait que le contrat de travail au Canada soit fermé et soit lié à un seul employeur en serait la cause. En cas de licenciement, l’expulsion peut être une avenue au désavantage de l’immigré. Les droits des travailleurs selon ce rapport seraient bafoués. Le rapporteur spécial Tomoya Obokata évoque des problèmes vécus par les travailleurs : vol de salaire, longues heures de travail avec pauses limitées, harcèlement et exploitation sexuels etc.

Selon le rapport parfois les employeurs ont empêché les gens de se faire soigner ou ont empêché les travailleurs de prendre leurs congés. Le rapport fait aussi état d’une surpopulation dans des logements fournis par l’employeur.

Le Canada par ses accords de migration de main-d’œuvre favoriserait l’exploitation en créant des situations de dépendance qui lient les travailleurs à leurs employeurs qui contrôleraient tous les aspects de leur vie.

Pourtant le fédéral l’affirme il surveille les employeurs non conformes et met des amendes salées en conséquence.

Il y a possiblement des abus mais il ne faut pas pour autant occulter la satisfaction de tous les travailleurs étrangers qui voient dans leur venue au Canada une nouvelle vie pour la plupart heureuse et enrichissante. Il suffit de parler avec des organismes d’intégration comme celui du développement à l’immigration de la MRC de Montmagny et d’écouter Hamilton Cidade en charge de cette mission pour comprendre que des immigrations heureuses il y en a à pelletée au Canada et au Québec.

 

 

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