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De nombreux commentaires laissent douter de l’efficacité du Club Jockey du Québec sur Passion Courses

Dans le cadre d’un live sur la page Facebook de Passion courses, le 29 janvier dernier, une entrevue donnée par Jean-François Reid, président de l’ATAQ ( Association de trot et amble du Québec)  à Ghislain Paquet, l’animateur du live a déclenché bien des commentaires dont La Vie agricole vous en livre quelques-uns à méditer!

Vers la 50e minute, Jean-François Reid aborde d’éventuels conflits d’intérêts de Guy Corbeil au sein du Club Jockey du Québec (CJQ) et fait le point sur les attentes de l’Association de trot et amble du Québec qui se dit déçue des réalisations du CJQ.

M.Reid rappelle entre autres à titre d’exemple la convocation de M.Corbeil, vice-président du CJQ, par la Régie (RACJ) en 2018 concernant une plainte en lien avec l’intervention, semble-t-il, de M.Corbeil auprès du secrétariat de course pour retirer un cheval d’une course en 2017 alors qu’il avait lui-même un cheval dans cette course. Au-delà de M. Corbeil, Jean-François Reid explique surtout que la gestion du monde des courses par les seules six personnes en charge du Jockey Club gênent les propriétaires de chevaux.

Corbeil sur la sellette

Dans les commentaires que l’on peut lire sur cette page Facebook, M.Corbeil  et le Club Jockey du Québec semblent pas mal sur la sellette : M. Serge Nadeau déclare : «Moi je crois que le Jockey Club gère pour leur poche seulement». Micheline Beaudoin est quant à elle assez radicale sur le rôle du vice-président du Club Jockey; «Êtes-vous surpris avec Corbeil ? Tout ce que vous proposez qui aiderait l’industrie si ça ne donne rien à son élevage, mon opinion, course amateur, etc. Il est contre»

Kevin Maguire s’interroge sur l’ambition du CJQ : «Je me pose souvent la question le CJQ veulent-ils vraiment que ça marche ou faire juste 40 programmes ?»

Les régions oubliées

Pour Richard Simard le rôle des régions est souvent oublié : «Vous n’aurez jamais d’aide gouvernementale sans impliquer les régions et avoir une ‘’track’’ dans la région de Montréal».

Booster l’ambiance à l’hippodrome.

France Martineau s’inquiète de l’ambiance à l’hippodrome de Trois Rivières : «On peux-tu aussi remodeler l’ambiance ? Tsé à St-Tite, ça refoule aux portes ! Quand j’entends de la musique de chambre entre les courses, j’me demande si je suis bien à l’hippodrome…», écrit-elle. Elle ajoute qu’elle voit un véritable développement en s’associant par exemple aux Cages au sport :«Je lance ça comme ça … Si on veut attirer des jeunes, pourquoi les courses ne seraient pas sur les écrans des places comme la cage aux sports? Peut-être que ça susciterait de l’intérêt ! Faut voir l’ambiance quand il y a de la boxe!»

Pour Sébastien Auclair c’est clair, l’industrie a besoin d’amener de nouvelles personnes et rajeunir la clientèle. «Et leur transmettre cette passion.», écrit-il.

Ça passe selon lui par des événements attractifs pour la clientèle, des 5 à 7, des courses amateurs et des évènements avec des entreprises pour retrouver un nouvel auditoire.

La Régie des courses et des jeux dans le collimateur de plusieurs

Mais plusieurs ont un avis commun : «Le plus gros problème au Québec ce sont les lois de la RACJ qui sont passées date !»

Retrouvez la version EN PODCAST de la présidente du Club Jockey du Québec, Me Sophie Mongeon dans la section «PARLONS FERME» sur SPOTIFY

 

 

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