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OPINION-L’industrie des courses de chevaux au Québec:Une relance freinée par une gestion opaque

Le gouvernement doit agir maintenant!

L’industrie du cheval joue un rôle clé dans l’économie québécoise, générant des milliers d’emplois et contribuant au développement des régions. Pourtant, alors que d’autres provinces canadiennes, comme l’Ontario, l’Alberta et l’Île-du-Prince-Édouard, prospèrent grâce à une gestion structurée et transparente, le Québec continue de stagner en raison d’une gouvernance archaïque et fermée.

Pourquoi sommes-nous laissés derrière? La réponse est claire : le Club Jockey du Québec (CJQ), l’organisme censé gérer l’industrie, opère en vase clos et sans rendre de comptes.

Il est temps d’agir et de rendre l’industrie aux hommes et femmes à chevaux.

 Le CJQ a nié par écrit et en entrevue, via sa présidente, l’existence même de conflits d’intérêts parmi ses administrateurs. Il est impossible de solutionner un problème si on nie catégoriquement l’évidence.

Au cours des derniers jours, l’association qui représente les hommes et femmes à chevaux a obtenu un avis juridique d’un cabinet d’avocats réputé et a déposé une plainte officielle à la Régie des Alcools, Courses et Jeux du Québec qui relève du ministère de la sécurité publique de M. François Bonnardel.

Nous demandons une refonte immédiate du CJQ, avec :

Le Québec ne peut pas se permettre de rester en arrière pendant que les autres provinces prospèrent.

Nous avons une opportunité unique de rebâtir notre industrie sur des bases plus solides et durables. Le gouvernement doit agir maintenant!

L’industrie doit être entendue

Nous invitons tous les passionnés de courses de chevaux, les élus et les citoyens préoccupés par le développement de nos régions à partager cette lettre, contactez vos députés et exigez une industrie transparente et bien gérée.

Jean-François Reid
Président de l’Association du Trot et Amble du Québec (ATAQ)

 

 

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