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La Sécurité publique et la RACJ ont des devoirs à faire selon Marcel Lacaille

Amble Lucien Bombardier 2024 2024-10-06

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« Je crois que la Sécurité Publique et la RACJ auraient intérêt à regarder le fonctionnement parce que je pense que ça ne prend pas un procureur avec beaucoup d’expertise pour réaliser qu’il y a des anomalies», déclare Marcel Lacaille impliqué dans le monde du cheval depuis les années 80 lorsqu’il regarde la gestion actuelle du Club Jockey du Québec ( CJQ).

Au regard de ce qui se passe actuellement dans le monde du cheval et notamment autour de la gestion du CJQ, pour lui, après une décennie morose, il est temps d’interpeller l’Assemblée nationale.

Il se dit prêt à travailler pour les régions et pour les jeunes afin de relancer la génétique du cheval au Québec, province qui fut connue comme la référence pendant des années dans toute l’Amérique du Nord.

Il s’interroge sur les rôles multiples que certains entretiennent : « Je ne comprends pas moi qu’une personne peut cumuler différentes fonctions quand elle est détentrice d’une licence de la RACJ qui est sous la juridiction de la Sécurité Publique».

Une nouvelle association : du positif pour les régions

Il profite de cette entrevue pour annoncer qu’il prend la présidence de la toute nouvelle Société du Cheval Québécois qui aura pour mission de rassembler toutes les races et de démontrer la force du monde du cheval à la grandeur du territoire québécois.

Marcel Lacaille se veut une source d’inspiration pour tout ceux qui veulent une renaissance du monde du cheval au profit des régions. «Le peuple Québécois est grand et capable», dit-il.

«C’est de ça qu’on vous a dépouillé»

« On avait bâti des actifs pour vous tous les gars de l’élevage, les Québécois des régions en étant propriétaires de l’hippodrome de Montréal qui valait dans le temps 37 millions ou environ (…) J’entends dire que ça vaut 500 millions ou davantage (…) C’est de ça qu’on vous a dépouillé», conclut-il bien déterminé à ce que la société voit dans le monde du cheval une richesse inexploitée dont l’économie s’est déplacée en Ontario.

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