2 Commentaires

  1. En Ontario par exemple, un producteur doit être membre d’un syndicat, c’est obligatoire. Il y a un choix de plusieurs organisations reconnues. Comme dans la vie, la diversité c’est mieux. La concurrence, c’est mieux. Le monopole, jamais bon. Pourquoi on a un monopole? Par ce que Jacques Parizeau l’a approuvé pour plaire aux agriculteurs pour les référendums. Et depuis cette erreur, le monopole écrase et se comporte en roi. Monsieur Pronovost l’avait dit, ce n’est qu’une question de temps avant la fin de cette erreur. Et les pourris politiques actuels, et les autres d’avant, les libéraux, n’ont jamais eu le courage de le faire. Il n’y a qu’un endroit en Amérique ou on a un monopole. Même en construction, les travailleurs ont le choix. Si le monopole de l’UPA était dissous, elle en sortirais meilleure! Le pleutre Lamontagne qui tête son roi Legault a jamais eu le courage de le faire. Des pourris tout autant que les libéraux.

  2. Je veux bien accorder tout le crédit qui lui revient à M. Saint-Pierre dans la genèse de la Commission Pronovost, mais je déplore qu’il ne dise mot de tout le travail a amont fait par l’Union paysanne et des groupes de producteurs comme ceux de l’Ile-Verte dans le BAs-Saint-Laurent. Dans les mois qui ont précédé la création de la Commission, l’Union paysanne avait mis en marche un projet d’États généraux de l’agriculture. Globalement, la vaste prise de conscience provoquée par l’Union paysanne à partir de 2001 sur la nécessité de remettre en questions les institutions agricoles en place, y compris le monopole syndical de l’UPA. C’est d’autant plus vrai que M. Saint-Pierre, comme sous-ministre de l’agriculture, était au coeur même du pouvoir. Je constate une fois de plus que le travail des citoyens est facilement relégué dans l’oubli au profit des gens de pouvoir.

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