Ottawa (Ontario), le 11 janvier 2013 – La Chine a agréé quatre autres installations canadiennes de transformation du boeuf qui seront maintenant autorisées à exporter leurs produits vers son territoire, ont annoncé aujourd’hui le ministre de l’Agriculture, Gerry Ritz et le ministre du Commerce international Ed Fast. Les établissements nouvellement approuvés augmenteront la capacité du Canada à exporter du boeuf vers un marché estimé par le secteur à environ 20 millions de dollars par année.
« Cette étape d’importance ouvre à nos producteurs de boeuf la voie à d’autres possibilités d’échanges avec la Chine, a déclaré le ministre Ritz. La priorité de notre gouvernement demeure l’économie et en élargissant les marchés dans des pays dynamiques comme la Chine, nous aidons les producteurs canadiens à augmenter leur profit, ce qui conduit à la création de plus d’emplois, à la prospérité et à la croissance économique. »
« L’annonce d’aujourd’hui est un autre exemple de la façon dont l’engagement de notre gouvernement à ouvrir de nouveaux marchés contribue à accroître les exportations canadiennes et à produire des résultats concrets, a déclaré le ministre Fast. Nous nous réjouissons à la perspective de continuer à renforcer notre relation commerciale avec la Chine pour nous assurer qu’elle est équilibrée et apporte des avantages manifestes aux travailleurs et entreprises du Canada. »
Les installations suivantes peuvent maintenant exporter en Chine : Les Viandes Laroche Inc. (Asbestos, Québec), Ryding Regency Meat Packers Ltd. (Toronto, Ontario), St. Helen’s Meat Packers Limited (Toronto, Ontario), et Canadian Premium Meats Inc. (Lacombe, Alberta).
En juin 2011, un accord conclu avec la Chine autorisait l’importation de boeuf canadien désossé provenant d’animaux de moins de 30 mois, faisant du Canada le premier pays touché par l’ESB à reprendre le commerce du boeuf avec la Chine. L’approche de l’accès graduel au marché consenti aux produits bovins canadiens a été confirmée par l’entente de coopération annoncée par le premier ministre Harper en février 2012 lors de sa mission en Chine.
D’après Canada Beef Inc., le marché chinois ouvert au boeuf canadien désossé, provenant d’animaux de moins de 30 mois, est estimé à près de 20 millions de dollars par année et une fois que l’accès intégral sera accordé, le marché chinois du boeuf et des bovins vivants canadiens devrait se chiffrer à 110 millions de dollars. La Chine est le troisième partenaire commercial en importance du Canada, les échanges bilatéraux s’étant chiffrés à plus de 64,5 milliards de dollars en 2011, dont 3,4 milliards de dollars de produits agricoles et agroalimentaires.
Le 8 novembre 2012, le gouvernement du Canada a publié le Rapport sur l’accès aux marchés du secteur agricole et agroalimentaire 2011-2012, qui souligne les réalisations en matière d’accès aux marchés y compris le maintien de l’accès du canola canadien au marché de la Chine d’une valeur de 1,6 milliard de dollars en 2011.
L’annonce d’aujourd’hui est un autre exemple de ce qui est fait pour améliorer la compétitivité et la croissance à long terme de l’agriculture canadienne, une priorité du cadre stratégique Cultivons l’avenir 2. En plus du financement pluriannuel des programmes de gestion des risques, Cultivons l’avenir 2 prévoit l’investissement de 3 milliards de dollars dans des initiatives stratégiques visant à promouvoir l’innovation, la compétitivité et le développement des marchés.
Source:
Jeff English
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