NDRL: Ce mois-ci, un nouveau chroniqueur se joint à l’équipe de La Vie Agricole, afin de diversifier le contenu de notre publication. Nous avons en effet réussi avec fierté, après plusieurs mois d’effort, à convaincre M. Michel Bibeau à reprendre du service dans le domaine du journalisme de plein air. Soulignons que Michel a été pendant plus de 15 ans associé au magazine Sentier Chasse-Pêche, dont il a été l’éditeur délégué. De 1982 à 2000, il a été associé à tous les grands débats, a été producteur de séries télévisées comme Bonne Chasse ou Bonne Pêche, a collaboré étroitement avec les Soirées de chasse et de pêche O’keefe, a animé des centaines d’émissions ou capsules radiophoniques, etc. Son expertise en la matière s’est étalée sur quatre continents.
Ayant décidé volontairement de quitter les réflecteurs il y a une quinzaine d’années, Michel n’en est pas moins demeuré très actif dans le domaine depuis lors, oeuvrant auprès de multiples organisations. Reconnu pour les nombreux combats qu’il a mené politiquement pour la reconnaissance des droits des chasseurs et pêcheurs du Québec, pour ses talents de visionnaire, son honnêteté et son très haut niveau de respect de la faune et de l’environnement du Québec, il ne fait nul doute qu’il représente un atout pour le journal La Vie Agricole et qu’il saura vous entretenir de multiples sujets, incluant des dossiers chaud au monde agricole.
Bienvenue à Michel Bibeau dans notre équipe !
Un retour vers les grands espaces….
L’idée de reprendre du service dans le domaine du journalisme de plein me trottait dans la tête depuis un temps, surtout après avoir été approché par l’équipe de La Vie Agricole, l’automne dernier. J’avais volontairement quitté la plate-forme journalistique depuis plusieurs années, afin de me consacrer davantage à d’autres ambitions. Par contre, je n’ai cessé de pratiquer la chasse et la pêche, et aussi de demeurer au fait des grands débats à cet égard.
L’idée de revenir a fait son chemin et j’avoue que de pouvoir le faire pour le monde agricole a grandement contribué à ma décision. Les agriculteurs représentent en effet un acteur de premier plan dans plusieurs régions du Sud du Québec, notamment via la propriété d’un bloc foncier fort important. L’impact des décisions prises par vous influence non seulement la pratique des activités, mais également le domaine faunique en général, autant via la nature des cultures que des modes pour y arriver. Votre impact général sur les populations d’oiseaux migrateurs, sur les populations plus sédentaires ou sur les prédateurs est majeur !
Au fil des prochains mois, nous traiterons donc des grands enjeux fauniques, mais également de destinations et d’excusions propices à convenir à votre horaire fort chargé durant la saison des cultures, ainsi que d’équipement, le tout dans un profond respect d’indépendance et d’honnêteté, sans influence des acteurs ou commanditaires. Nous allons nous concentrer sur les vraies choses, en laissant les manufacturiers faire leur propre marketing !
Le mois prochain, nous commençons avec des suggestions d’excursions brèves pour agriculteurs occupés !