Louis Robert évaluera toutes les avenues et s’il ne retourne par au MAPAQ, il deviendra peut-être consultant, mais il se peut bien que dans le futur il devienne plus bavard sur les secrets qui entourent l’affaire qui le concerne. Pour le moment il a livré à La Vie agricole quelques intentions dans les limites de ce qu’il peut se permettre.
Lorsque nous avons demandé à Louis Robert s’il envisageait d’accepter un retour au MAPAQ comme le propose le ministre Lamontagne, il nous a répondu cet après-midi : « Ça dépend de l'offre qu'ils vont me faire, des modalités, etc. ». Sinon l’avenir qu’il se projette pour les prochaines années s’il ne retourne pas au MAPAQ pourrait être dans le domaine de la consultation nous a-t-il confié !
Plus bavard, plus tard !
Pas de commentaires pour le moment sur le rapport du Protecteur du citoyen, pas de commentaires sur les compagnies, pas de commentaires sur le syndicat. Louis Robert semble se garder des munitions pour plus tard.
Il déclare ne pas pouvoir commenter pour le moment la lecture du rapport de la protectrice du citoyen, mais il estime que la divulgation, qu’il a faite en date du 30 octobre 2017 sous l’époque des libéraux et son congédiement sous l’ère caquiste, n’ait aucunement lié à la politique ou à un règlement de compte : «Ni politique ni règlement de compte», nous a-t-il dit.
Il déclare ne pas pouvoir commenter non plus pour l’instant à savoir si le rôle de compagnies ou du syndicat aurait eu de l’influence au sein du MAPAQ concernant son congédiement