Pour 2023: Les déclarations du ministre Lamontagne à La Vie agricole

Sur RUN DE LAIT

«Ma première réaction, ça a été , il y a un an et quelques mois (…) j’ai accueilli ça avec curiosité et enthousiasme. Quand j’ai rencontré Justin, j’ai réalisé qu’il avait vraiment fait ses devoirs et qu’il allait sortir de ce projet-là quelque chose d’exceptionnel (…) Je fais toujours une fixation sur augmenter le lien de confiance entre ceux qui produisent et ceux qui consomment. Un exercice comme ça, ça contribue certainement à ça!»

Sur la COP 15

« Il faut remonter quand on a lancé à l’automne 2020, le plan d’agriculture durable qui fait école au Canada et dans bien des endroits dans le monde. L’annonce que j’ai faite à la COP 15 est dans cette continuité»

Sur la réduction des pesticides

« Il y a des gens dans le monde qui fixent des objectifs pour la planète, c’est une bonne chose. Ce que je dis, c’est que c’est important que ça s’attache sur la réalité de ce que les gens vivent sur le terrain».

Sur l’inflation et la situation géopolitique

«Toutes les entreprises sont affectées. Ce qu’on a mis en place pour accroître l’autonomie alimentaire, il y a du bon matériel là-dedans pour s’investir des années : ça donne vraiment des directions. Je vois une continuité là-dedans. C’est sûr qu’il faut s’arrimer et s’ajuster avec les défis de la chaîne d’approvisionnement.»

Sur le congrès de l’UPA et la Loi sur les agronomes

«Le projet de Loi a été déposé au mois de juin. C’était important de marquer le terrain. Il y a eu plusieurs réactions et moi j’ai donné instruction aux gens du ministère de partir dans une grande ronde de consultation pour que lorsqu’on va revenir avec un nouveau projet de loi, ça va être le fruit de tous ces échanges-là et j’ai bonne confiance que ça va atterrir à la bonne place.»

Sur la mission de l’Institut Jean-Garon en France

«J’ai écouté avec grand intérêt les reportages que vous avez faits. Toutes les opportunités qui peuvent être générées pour que les acteurs d’une chaîne soient ensemble, je salue ça. J’écoutais les observations des trois transformateurs qui étaient là. Ce sont des observations qu’ils peuvent partager ici avec les autres transformateurs et les gens de production. Ça va accroître la motivation que les différents partenaires peuvent avoir à se parler et à amener ça ailleurs en tenant compte des particularités qu’on a au Québec et au Canada en fonction de la gestion de l’offre.»

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *