NDLR : DROIT DE RÉPONSE / Suite à une demande de rectification concernant deux articles parus sur www.lavieagricole.com , quelques heures avant de partir sous presse, La Vie agricole a choisi de donner un droit de réponse à L’UPA dans sa version papier. Toutefois nous tenons à préciser que notre journaliste a fait les démarches nécessaires pour parler à MM. Lalonde et Juneau et obtenu les réponses qu’ils ont bien souhaité lui donner ou non. Nos journalistes essayent d’obtenir les informations de l’UPA mais bien souvent l’organisation syndicale refuse de répondre. Nous souhaitons vivement dans les prochains mois plus d’interaction entre l’UPA et notre publication lorsqu’il s’agit d’informer les producteurs. Par ailleurs La Vie agricole réitère ici publiquement la demande faite depuis des années au président de L’UPA d’accepter de disposer d’une chronique mensuelle dans notre publication afin de donner sa vision du développement de l’agriculture au Québec.
La Vie agricole / Article : « Groleau aurait-il menti? Des producteurs de la Montérégie lancent un ultimatum! »
Le paragraphe suivant doit être remplacé : « La confusion s’est rapidement installée. 2016, 2017, 2018, tout le discours était entremêlé. Un brouhaha s’est levé lorsque le conseiller syndical Benoît Lalonde a déclaré « il faut s’attendre à ce que le gouvernement rajuste encore les factures en 2017, alors que les dossiers de 2016 ne sont pas encore réglés. L’annulation pour 2017, ce n’est pas réglé. On n’a pas les données depuis 2015, le MAPAQ les retient. Nous avons donc travaillé avec une probabilité selon les chiffres disponibles de 2014. Tout le monde a été surpris de la situation. »
Version UPA / Voici ce qui devrait être publié pour remplacer ce paragraphe : La confusion s’est rapidement installée. 2016, 2017, 2018, tout le discours était entremêlé. Monsieur Lalonde a précisé qu’il fallait distinguer les remboursements promis aux producteurs à la suite de l’abolition de la réforme du Programme de crédit de taxes foncières agricole (PCTFA) des factures récemment envoyées aux producteurs pour rembourser le dépassement de coût de 4 % du budget 2016 du PCTFA. Si le gouvernement ne fait pas sauter le plafond de 5 % tel que demandé par l’UPA, on est en droit de s’attendre à un dépassement du plafond du PCTFA en 2017 et à un nouvel envoi de factures aux producteurs en 2018. Madame Julie Robert, conseillère à l’aménagement du territoire a indiqué que l’UPA a utilisé les chiffres fournis par le MAPAQ et que ces chiffres pouvaient être réajustés au cours des trois (3) années civiles suivantes par le MAPAQ. Les chiffres pour mesurer l’impact de la réforme ont été validés, entre autres, par Raymond Chabot Grant Thornton.
La Vie agricole / Article : « L’augmentation de la cotisation de base par l’UPA passe mal! »
Le paragraphe suivant doit être remplacé : Il est rapporté que : « Le conseiller syndical Benoît Lalonde a expliqué que l’UPA procède actuellement à un audit de son plan « L’UPA du futur », adopté en 2012, à la suite d’un bilan réalisé en décembre 2016. La demande des hausses s’inscrit dans la prolongation de son plan de financement, le temps qu’une équipe d’experts-conseils en termine l’analyse et fasse ses recommandations ».
Version UPA/ Voici ce qui devrait être publié pour remplacer ce paragraphe : L’UPA réalise actuellement une démarche afin d’identifier les besoins réels et actuels de ces producteurs. Pour faire un lien avec le commentaire d’un producteur présent sur les coûts des changements apportés dans le cadre de la démarche sur l’ « UPA du futur » en 2012, monsieur Lalonde a précisé que les producteurs auraient l’occasion de s’exprimer sur les changements apportés lors de l’ « UPA du futur ». L’UPA propose un prolongement du Plan de financement actuel afin de pouvoir continuer à répondre au mieux aux demandes et priorités de ses producteurs. Cela permettra de mettre en place et de proposer un nouveau Plan de financement.
Geneviève Blain, agr.
Directrice de la vie syndicale et des communications