Les agriculteurs canadiens ne nourrissent pas seulement le Canada, mais le monde entier!

Jean Charest a pris des positions claires concernant le secteur agricole dans sa course au leadership du parti conservateur dans l’espoir de convaincre et d’être candidat à l’élection de premier ministre du Canada :«L’invasion de l’Ukraine par la Russie et la destruction de 30 % de la capacité mondiale de production de blé nous ont montré à quel point notre secteur agricole est essentiel.Chaque année, nous exportons pour plus de 56 milliards de dollars de produits agricoles et agroalimentaires, ce qui représente des centaines de milliers d’emplois. Je veux que ces chiffres augmentent et doublent d’ici dix ans.»

Il rappelle que les Canadiens de partout au pays sont fiers des produits de haute qualité de leur secteur agricole, de sa puissante image de marque et de son innovation. Il précise aussi que les conservateurs comprennent les besoins du secteur agricole. Il rappelle qu’il formera un gouvernement «qui écoute, ouvre les portes du commerce, veille à ce que leurs produits puissent arriver sur le marché, et est fier et soutient nos agriculteurs dans les bons comme dans les mauvais moments».

«Les travailleurs canadiens endurcis dans l’agriculture et les industries agricoles n’ont pas besoin de paperasserie gouvernementale. Ils ont besoin que le gouvernement leur ouvre les portes du commerce pour acheminer nos produits fabriqués au Canada sur le marché», précise Jean Charest.

Les déclarations de Jean Charest concernant l’agriculture et l’agroalimentaire

Une fois élu, Jean Charest promet :

  • Abroger la taxe sur le carbone à la consommation de Trudeau qui a injustement puni les agriculteurs
  • Promulguer une loi sur la protection des infrastructures essentiellespour garantir que nos ports, nos routes et nos voies ferrées restent ouverts et que la nourriture arrive sur le marché
  • Rechercher de nouveaux accords commerciaux pour ouvrir davantage de marchés à nos agriculteurs
  • Respecter et défendre la gestion de l’offre et veiller à ce que le ministre de l’Agriculture soit présent à toutes les négociations commerciales où ces programmes sont discutés
  • Inclure les véhicules et équipements agricoles dans la nouvelle législation sur le droit à la réparation
  • Travailler avec la FDA des États-Unis pour harmoniser les réglementations sur les produits, en veillant à ce que les irritants commerciaux n’empêchent pas les produits canadiens d’entrer, comme nous l’avons vu récemment avec les pommes de terre de l’Île-du-Prince-Édouard.
  • Attirer des travailleurs qualifiés dans le secteur agricole pour de bons emplois dans des domaines comme la transformation de la viande, qui manque actuellement de dizaines de milliers de travailleurs
  • Réexaminer le Programme des travailleurs étrangers temporaires pour s’assurer qu’il est équitable, transparent et qu’il répond aux besoins des travailleurs et des entreprises agricoles
  • Protéger les entreprises agricoles familiales en défendant un traitement fiscal équitable, y compris pour les transferts intergénérationnels

Crédit-photo: La Vie agricole

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