La fin du programme Agri-Québec a un impact important pour les producteurs céréaliers en particulier les producteurs de maïs et de soya. Pour M. Jacques Cartier du Conseil des entrepreneurs agricoles la situation est inadmissible.
« On nous promet une contrepartie mais pour le moment il n'y a rien ». M. Cartier trouve révoltant qu'on laisse tomber des producteurs de cette manière. « L'impact est majeur » ajoute-t-il.
M. Cartier fait remarquer : « Nous n'avons jamais été consulté. Il y a eu des discussions entre l'UPA et la Financière et l'UPA a approuvé ça mais les producteurs n'ont pas été consultés ».
« Le monopole syndical fait en sorte qu'on n'est jamais consulté ».
« Ce sont des gens qui représentent des producteurs qui nous disent qu'ils approuvent que des agriculteurs soient désavantagés de cette manière » de conclure M. Cartier.