Des producteurs mexicains, clients d’Agro-100 venus prospecter le savoir-faire Québécois en agriculture.

 

Mi-novembre, encouragés par l’accroissement significatif de la productivité de leurs grandes cultures des raisins de table, de noix et de pommes, notamment, une douzaine de grands producteurs agricoles mexicains sont venus prospecter le grand marché agricole du Québec, à l’invitation de Agro-100 de Joliette et Batiscan, devenue un partenaire fournisseur de choix pour de multiples grandes exploitations agricoles mexicaines, depuis les quatre dernières années, notamment.

C’est ce qu’a fait savoir le président et chef de la direction d’Agro-100, Stéphane Beaucage, qui a piloté cette délégation qui souhaitait, dans un premier temps, constater les technologies de pointe éprouvées du Québec et investiguer, dans un deuxième temps, les possibilités d’alliances stratégiques qui pourraient permettre aux producteurs québécois de pouvoir exporter le savoir-faire en plusieurs matières ou même réaliser, du même coup, des transferts d’expertise dans d’autres cultures potentielles au Mexique.

En date de mai 2016, ce sont des échanges globaux de 5,4 milliards de dollars (5,4 $) qui ont été réalisés entre le Québec et le Mexique, au cours de la seule année 2015. Les données du Census Bureau des Etats-Unis révèlent que, de ces échanges, 4,1 milliards de dollars           (4,1 G $) sont constitués d’exportations du Québec vers le Mexique ; ce qui représente une balance commerciale extrêmement positive pour le Québec. « Cela démontre clairement que le Mexique est l’un des marchés qui peut permettre à Agro-100 de négocier efficacement le virage d’une croissance accélérée à l’international » a dit le président et chef de la direction d’Agro-100, Stéphane Beaucage; le Mexique étant la première puissance économique d’Amérique latine, et la treizième puissance commerciale du monde où l’agriculture occupe 4% du PIB qui devrait atteindre en 2016, selon la Banque Mondiale, le cap des 1 199 milliards de dollars (1 199 G $).

Pour Agro-100, le pilotage de cette forte délégation commerciale illustre à perfection tout l’impact que les engrais liquides et foliaires d’Agro-100 a pu contribuer à engendrer sur les rendements améliorés de bon nombre de producteurs agricoles, autant que chez les exploitations mexicaines hypermodernes, tournées vers les marchés d'exportation.

Après une visite des installations d’Agro-100 à Joliette, les membres de la délégation ont reçu une formation portant sur les « Aspects nutritionnels et la qualité des fruits dans  la culture de la pomme » qui a été donnée par le directeur commercial de l’entreprise en Amérique latine, l’agronome Gonzalo Bernal. Ils en ont aussi profité pour se familiariser avec l’acériculture, une activité qui leur est assez étrangère, lors d’une visite dans une érablière de Lanaudière, puis avec la viticulture québécoise, à l’occasion d’une tournée du Vignoble Le Mernois de St-Thomas-de-Joliette.

À l’Institut de recherche et développement en Agroenvironnement, l’IRDA, ils ont pu prendre connaissance de différentes recherches sur la pomme, en phytopathologie et pomiculture, menées par l’éminent chercheur Vincent Philion de l’Institut. Le volet didactique de la mission les a aussi conduits au Verger St-Paul, à St-Paul-d'Abbotsford, où le propriétaire, Roland Lafont, a initié les visiteurs à un tour de ses installations ultramodernes d'entreposage, de lavage, de classement et d‘empaquetage de pommes. De plus, Mélanie Noël de la Fédération des producteurs de pommes du Québec a dressé un portrait exhaustif des tenants et aboutissants du marché de la pomme au Québec. Les producteurs mexicains ont complété leur tournée de reconnaissance en compagnie du  Dr. Regis Baziramakenga d’Agro-100 au Centre de recherche de l’Université Laval de Québec, avec, en prime, une visite fort goûtée du Vieux-Québec, le bastion de la culture française en Amérique du Nord.

Le président d’Agro-100 a conclu en disant que ce type de mission commerciale constituait l’un des meilleurs tremplins pour propulser les entreprises du Québec à l’international.

 

 

 

 

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Des producteurs mexicains, clients d’Agro-100 venus prospecter le savoir-faire Québécois en agriculture.

 

Mi-novembre, encouragés par l’accroissement significatif de la productivité de leurs grandes cultures des raisins de table, de noix et de pommes, notamment, une douzaine de grands producteurs agricoles mexicains sont venus prospecter le grand marché agricole du Québec, à l’invitation de Agro-100 de Joliette et Batiscan, devenue un partenaire fournisseur de choix pour de multiples grandes exploitations agricoles mexicaines, depuis les quatre dernières années, notamment.

C’est ce qu’a fait savoir le président et chef de la direction d’Agro-100, Stéphane Beaucage, qui a piloté cette délégation qui souhaitait, dans un premier temps, constater les technologies de pointe éprouvées du Québec et investiguer, dans un deuxième temps, les possibilités d’alliances stratégiques qui pourraient permettre aux producteurs québécois de pouvoir exporter le savoir-faire en plusieurs matières ou même réaliser, du même coup, des transferts d’expertise dans d’autres cultures potentielles au Mexique.

En date de mai 2016, ce sont des échanges globaux de 5,4 milliards de dollars (5,4 $) qui ont été réalisés entre le Québec et le Mexique, au cours de la seule année 2015. Les données du Census Bureau des Etats-Unis révèlent que, de ces échanges, 4,1 milliards de dollars           (4,1 G $) sont constitués d’exportations du Québec vers le Mexique ; ce qui représente une balance commerciale extrêmement positive pour le Québec. « Cela démontre clairement que le Mexique est l’un des marchés qui peut permettre à Agro-100 de négocier efficacement le virage d’une croissance accélérée à l’international » a dit le président et chef de la direction d’Agro-100, Stéphane Beaucage; le Mexique étant la première puissance économique d’Amérique latine, et la treizième puissance commerciale du monde où l’agriculture occupe 4% du PIB qui devrait atteindre en 2016, selon la Banque Mondiale, le cap des 1 199 milliards de dollars (1 199 G $).

Pour Agro-100, le pilotage de cette forte délégation commerciale illustre à perfection tout l’impact que les engrais liquides et foliaires d’Agro-100 a pu contribuer à engendrer sur les rendements améliorés de bon nombre de producteurs agricoles, autant que chez les exploitations mexicaines hypermodernes, tournées vers les marchés d'exportation.

Après une visite des installations d’Agro-100 à Joliette, les membres de la délégation ont reçu une formation portant sur les « Aspects nutritionnels et la qualité des fruits dans  la culture de la pomme » qui a été donnée par le directeur commercial de l’entreprise en Amérique latine, l’agronome Gonzalo Bernal. Ils en ont aussi profité pour se familiariser avec l’acériculture, une activité qui leur est assez étrangère, lors d’une visite dans une érablière de Lanaudière, puis avec la viticulture québécoise, à l’occasion d’une tournée du Vignoble Le Mernois de St-Thomas-de-Joliette.

À l’Institut de recherche et développement en Agroenvironnement, l’IRDA, ils ont pu prendre connaissance de différentes recherches sur la pomme, en phytopathologie et pomiculture, menées par l’éminent chercheur Vincent Philion de l’Institut. Le volet didactique de la mission les a aussi conduits au Verger St-Paul, à St-Paul-d'Abbotsford, où le propriétaire, Roland Lafont, a initié les visiteurs à un tour de ses installations ultramodernes d'entreposage, de lavage, de classement et d‘empaquetage de pommes. De plus, Mélanie Noël de la Fédération des producteurs de pommes du Québec a dressé un portrait exhaustif des tenants et aboutissants du marché de la pomme au Québec. Les producteurs mexicains ont complété leur tournée de reconnaissance en compagnie du  Dr. Regis Baziramakenga d’Agro-100 au Centre de recherche de l’Université Laval de Québec, avec, en prime, une visite fort goûtée du Vieux-Québec, le bastion de la culture française en Amérique du Nord.

Le président d’Agro-100 a conclu en disant que ce type de mission commerciale constituait l’un des meilleurs tremplins pour propulser les entreprises du Québec à l’international.

 

 

 

 

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