En cette période d’élections, il n’y a pas de meilleur moment pour poser les vraies questions aux politiciens. La Vie Agricole après avoir en rencontré Jean Charest en début d’année pour échanger sur les grands enjeux économiques liés à l’agriculture québécoise a offert la tribune à la Première ministre en poste, Pauline Marois.
Celle-ci n’a pas pu nous rencontrer avant le dead-line de notre publication de mars, mais si elle est réélue le 7 avril prochain, souhaitons qu’elle se fera un plaisir de partager sa vision dans nos colonnes.
Par contre notre collaborateur à La Vie Agricole, Julien Mercier-Caron a pu obtenir l’avis de trois hommes politiques critiques en matière d’agriculture dans leur parti respectif : François Gendron pour le Parti Québécois, Stéphane Billette pour le Parti Libéral et Albert de Martin pour le Parti Conservateur du Québec. La Coalition Avenir Québec et Québec Solidaire n’ont pas répondu à nos questions.
Les sujets abordés étaient liés à la création ou non d’une SADAQ (Société d’Aménagement et de Développement Agricole du Québec), au rôle à jouer dans le futur par l’ASRA (Assurance Stabilisation du Revenu Agricole) et au maintien ou non du monopole syndical.