Jean Pronovost, auteur du rapport sur l’agriculture portant son nom n’a pas voulu réagir pour le moment au rapport de la Commission Robillard pour bien décoder ses intentions. Pour Jean Pronovost, il faut toutefois continuer de mettre de l’argent dans l’agriculture comme il le suggérait lors de la remise de son rapport en 2008, même s’il y a des ajustements à faire quant à l’application des programmes. En ce sens, il serait plus dans la lignée de Jacques Cartier et du Conseil des entrepreneurs agricoles que de L’UPA qui semble ancrée dans le statu quo. Il rappelle que l’agriculture du Québec de par sa nordicité a des contraintes que certains pays n’ont pas. Il reconnait en entrevue téléphonique avec La Vie Agricole que la situation du Conseil des entrepreneurs agricoles restera complexe tant qu’il n’aura pas la reconnaissance officielle du pluralisme syndical.

Jean Pronovost, auteur du rapport sur l’agriculture portant son nom n’a pas voulu réagir pour le moment au rapport de la Commission Robillard pour bien décoder ses intentions. Pour Jean Pronovost, il faut toutefois continuer de mettre de l’argent dans l’agriculture comme il le suggérait lors de la remise de son rapport en 2008, même s’il y a des ajustements à faire quant à l’application des programmes. En ce sens, il serait plus dans la lignée de Jacques Cartier et du Conseil des entrepreneurs agricoles que de L’UPA qui semble ancrée dans le statu quo. Il rappelle que l’agriculture du Québec de par sa nordicité a des contraintes que certains pays n’ont pas. Il reconnait en entrevue téléphonique avec La Vie Agricole que la situation du Conseil des entrepreneurs agricoles restera complexe tant qu’il n’aura pas la reconnaissance officielle du pluralisme syndical.