Marc Séguin que j’ai rencontré sur le traversier lors de mon retour de l’Isle-aux-grues début novembre était au Salon du livre de Montréal le samedi 30 novembre dernier. Drôle de hasard comme il me disait de se retrouver en si peu de temps d’un bateau au salon. De cette nature si exceptionnelle qu’est l’Isle-aux-grues à l’effervescence de la métropole vibrant au rythme de la rentrée littéraire pourrait-on dire aussi. Mais ce beau hasard a fait se combiner les séances de signatures des uns et des autres.
Marc Séguin venait au Salon du livre pour dédicacer entre autres son livre «Madeleine et moi» consacré à son pèlerinage à travers l’oeuvre du peintre Ozias Leduc. Cette même journée il côtoyait Michel Tremblay venu signer «Les contes de Josephat-le-Violon» dont Marc Séguin est aussi l’illustrateur.
Aussi là pour «Notre agriculture à la dérive»
Et comme Marc Séguin est très actif à plusieurs titres sur le plan artistique, il a pu échanger au cours de cet après-midi très occupé avec les 3 co-auteurs de « Notre agriculture à la dérive», Suzanne Dion, Guy Debailleul, Michel Saint-Pierre, les artisans d’un livre dont Marc Séguin est le préfacier et directeur de la collection «Territoires» chez Léméac Éditions à laquelle ce livre appartient.
Comme Marc Séguin le confiait dans un échange avec Michel Saint-Pierre sur le plancher du salon du livre, ce livre aura un succès assurément avec le temps, «C’est comme la crème dans le lait, le meilleur finit toujours par remonter à la surface!».
Belle expression du poète Marc Séguin pour qualifier l’utilité de ce livre !