Merci Monsieur Lapierre, vos commentaires ont bien éclairés ma lanterne. Le sujet de la surfertilisation est certainement en grande partie responsable du congédiement de M. Louis Robert. L’industrie est très gourmande et continue à créér de faux besoins de fertilisation en plaçant “ses” pions aux bons endroits pour s’assurer que ceux-ci prônent une utilisation toujours plus grande et inutile de ses produits. Les “pots-de-vin” distribués à certains agronomes lui assure des gros $$$$ de rendement supplémentaire, au détriment de nos sols et cours d’eau et au final de notre santé. Monsieur Louis Robert est victime de son honnêteté et de son intégrité. Pour son professionnalisme on l’a congédié, quelle bêtise de la part du gouvernement actuel de ne pas avoir creusé plus profondément avant d’agir de la sorte. Monsieur Lamontagne a possiblement (sans le savoir) joué le jeu de l’industrie en le congédiant. Ma mère disait souvent: “Quand on veut tuer son chien, on l’accuse d’avoir la rage”. Maintenant le Québec devrait reconnaître son erreur et redonner son poste à Monsieur Robert avec des pouvoirs accrus. Ce gouvernement prouverait ainsi que le vérité est vraiment au coeur de ses valeurs!
Merci Monsieur Lapierre, vos commentaires ont bien éclairés ma lanterne. Le sujet de la surfertilisation est certainement en grande partie responsable du congédiement de M. Louis Robert. L’industrie est très gourmande et continue à créér de faux besoins de fertilisation en plaçant “ses” pions aux bons endroits pour s’assurer que ceux-ci prônent une utilisation toujours plus grande et inutile de ses produits. Les “pots-de-vin” distribués à certains agronomes lui assure des gros $$$$ de rendement supplémentaire, au détriment de nos sols et cours d’eau et au final de notre santé. Monsieur Louis Robert est victime de son honnêteté et de son intégrité. Pour son professionnalisme on l’a congédié, quelle bêtise de la part du gouvernement actuel de ne pas avoir creusé plus profondément avant d’agir de la sorte. Monsieur Lamontagne a possiblement (sans le savoir) joué le jeu de l’industrie en le congédiant. Ma mère disait souvent: “Quand on veut tuer son chien, on l’accuse d’avoir la rage”. Maintenant le Québec devrait reconnaître son erreur et redonner son poste à Monsieur Robert avec des pouvoirs accrus. Ce gouvernement prouverait ainsi que le vérité est vraiment au coeur de ses valeurs!