Martin Scott rencontré sur sa ferme à Ste-Hyacinthe nous explique qu’une fois abattu en Pennsylvanie, on perd totalement la traçabilité du bœuf élevé au Québec : « La fédération de l’UPA nous a installé un beau système de traçabilité en 2000-2001 pour la traçabilité de l’étable à l’assiette, mais les puces ils perdent le contrôle en partant d’ici. J’ai découvert en plus la semaine passée que c’est une subvention du fédéral ( Cultivons l’Avenir2 ) que l’UPA s’approprie pour créer des programmes comme ça!», dit-il.