«On entend beaucoup parler des produits du terroir ( …) il y a des obstacles à ça. Si je ne suis pas capable d’aller chercher du poulet directement à la ferme, y’a des raisons pour ça! C’est pas Dieu le père qui a compliqué le système agroalimentaire au Québec. Si je ne peux pas aller chercher du lait chez l’agriculteur voisin, y’a des raisons à ça. On peut bien continuer des mesures cosmétiques mais…»- Maxime Laplante, cofondateur de l’Union paysanne, maintenant chargé de projets pour l’Institut Jean-Garon.